Ce n’est pas parce que les humains ont appris à se présenter sous des apparences plus civilisées qu’ils se sont débarrassés de leurs pulsions animales. Parfois, derrière l’air aimable de quelqu’un qui vous sourit en disant : « Bonjour, comment allez-vous ? Quel plaisir de vous rencontrer ! » il y a un fauve qui ne demande
qu’à vous sauter dessus pour vous dévorer. Et vous-même, ne vous trouvez-vous pas parfois dans un semblable état d’esprit ?… Des présences animales se mêlent à nos pensées, à nos sentiments, à nos désirs, et notre travail est de les apprivoiser jusqu’à les amener à travailler avec nous au sein de l’harmonie cosmique. »
Omraam Mikhaël Aïvanhov
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