La Mort ne nous laisse emporter que nos qualités et nos vertus

En ce Sunday, jour de notre Père Céleste, la phrase du jour d'Omraam Mikhaël Aïvanhov me fait penser à un écrit que j'ai fait le printemps dernier, le 24 avril 2014. Je l'avais nommé mon héritage.
Je vous en fait profiter :
Avant sa mort, chaque être humain veut laisser quelque chose en héritage à ses proches... Normal. Résultat de recherche d'images pour "héritage celeste"Je souhaite plutôt parler d'un autre héritage.
Jésus disait : « amassez-vous des trésors dans le ciel où les vers et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent ».
Ce sont les bagages que nous ramènerons après notre mort.
Les humains, pour la plupart, recherchent la satisfaction physique et matérielle. En ce qui me concerne, j'amasse des trésors dans mon âme et mon esprit. Je crois dans la réincarnation et dans la survie de la Terre dans l'Avenir. Donc, dans cette vie, j’apprends, je me tiens bien, une bonne élève. Il est certain que les
perturbations et la souffrance forgent le caractère, j'appelle ça, l'école de la Vie. Je veux garder en mémoire toutes les bonnes conclusions et le courage que j'en ai tiré pour les avoir encore dans ma future vie. Qu'elle soit meilleure et moins dur, si vous voyez ce que je veux dire.
Il est certain que ma vie actuelle est loin d'être fini et que l'Avenir est devant moi. Mais je préfère prendre les devant. Car beaucoup de personnes a l'article de la mort se pose la question de cet héritage là. Il n'est jamais trop tard pour se rendre compte de nos erreurs et pêchés mais ils alourdissent leurs bagages puisque le temps manque. Moi, je prend de l'avance sur mes devoirs.
« Un petit clic vaut mieux qu'une grande claque »...
Bien à vous.

La phrase du jour :
« Calculez le temps que vous passez chaque jour à manger, à dormir – ce qui est bien sûr utile, indispensable – mais aussi à parler à tort et à travers, à vous occuper de futilités. Les années passent ainsi loin de la vraie vie, la vie de l’âme et de l’esprit. Quel gâchis, quel gaspillage ! Et c’est pourquoi le jour où vous devrez partir dans l’autre monde, vous vous retrouverez pauvre et nu.
Pénétrez-vous bien de la pensée qu’en quittant ce monde, vous n’emporterez pour toutes pierres précieuses que vos seules vertus, pour tout or votre seul savoir, et pour tout vêtement les seules parures de votre âme. Au moment de la mort, on est comme ces gens qui, chassés de chez eux, sont obligés de laisser leurs terres, leurs maisons, leurs meubles : ils se précipitent vers leurs coffres pour prendre l’or et les bijoux qui sont les seuls objets de valeur grâce auxquels, en les monnayant, ils pourront survivre. Lorsque la mort arrive, on ne peut emporter que ses qualités et ses vertus, il faut abandonner tout le reste. Alors, demandez-vous dès aujourd’hui combien d’or et de pierres précieuses véritables sont en votre possession. »



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